dimanche 31 mai 2015

La vie s'occupe de nous

La vie est un chemin et celui qui le sait ne erre pas
Pape François


La vie s'occupe de nous, très correctement.
Notre job est de nous préparer à tout ce qu'elle veut nous donner.
Si aujourd'hui vous n'avez pas la vie que vous souhaitez ce n'est pas parce que vous ne le méritez  pas mais parce que vous n'êtes pas prêts, que la vie ne peut pas vous envoyer les choses qu'elle souhaite vous envoyer. Soit vous êtes endormis, soit vous êtes convaincu de votre faible valeur, vous n'êtes pas prêts, ce serait du gâchis.

Il nous faut préparez notre vie à quelque chose de merveilleux et pour cela il faut éprouver. Éprouver le mental, éprouver le corps, éprouver l'ouverture, la confiance...l’intellect, notre spiritualité...
Certains pensent être prêts parce qu'ils sont issus d'un milieux favorisé ou parce qu'ils ont fait de hautes études.... Pour être prêt il faut travailler: le discernement, le lâcher prise, le détachement, la présence, la confiance, la foi... lire, lire et lire encore, méditer, rester seul et savourer son inconscient, découvrir enfin que l'on est jamais seul car il existe en nous un être merveilleux, blessé, souvent, mais merveilleux et avec lequel nous devons communiquer quotidiennement. Plus jamais seuls, quelle liberté, l'indépendance enfin, et la paix qui l'accompagne.


La loi d'attraction nous dit de "demander" et c'est juste, mais il ne faut pas demander de manière précise; une voiture précise, un homme/femme précise, une maison etc. Cette demande trop précise nous étrique et nous faisons de l'ingérence dans ce que la vie a prévu pour nous.
Notre mental doit être calme. Nous devons être conscients à chaque instant de notre vie, conscients de ce que l'on mange, de ce que l'on sent, de nos émotions. Ne pas refouler nos émotions, nos ressentis, mais les gérer, les faire circuler dans le corps pour qu'elles ne nous créent pas de maladie somatiques.

Savoir... qui nous sommes. Nous ne sommes pas notre nom, notre métier, notre statut social, notre corps ou nos pensées... NOUS SOMMES CONSCIENCE mais cela aussi, il faut l'éprouver, le sentir dans le corps, le savoir intellectuel ne sert pas à grand chose, tout se passe dans le corps. Le corps vous dira quand vous serez prêts, votre travail est de commencer à travailler, vous préparer MAINTENANT pour tout ce que la vie veut vous donner et qui sera j'en suis convaincue, mille fois plus beau et plus merveilleux que vous ne pourriez le désirer.

Sao Doyen

jeudi 28 mai 2015

12 Règles pour Réussir un couple

Réussir un couple est un art qui obéit à des règles simples et évidentes :

1. Il nous faut savoir être seul avant d'être en couple.
2. Si vous êtes en couple, ne demandez pas à l'autre de changer... commencez par changer !
3. L'amour n'est pas la lune de miel, l'amour, c'est savoir aimer quand le couple est en crise.
4. Etre en couple ne vous permet pas de posséder l'autre... aimer c'est donner à l'autre de la liberté !
5. Chacun doit prendre responsabilité pour ses conditionnements, son inconscience et sa violence.
6. Un couple peut réussir que s'il n'est pas absorbé dans un cercle vicieux : je te blesse... tu me blesses...
7. Une sexualité saine est l'un des éléments majeurs d'un couple harmonieux et joyeux !
8. L'homme doit correspondre à l'image que la femme se fait de ce qu'est un homme.
9. Inversement, la femme doit correspondre à l'image que l'homme se fait de ce qu'est une femme.
10. Etre amants ne suffit pas, l'homme et la femme doivent être aussi frère et sœur, savoir vivre avec une certaine complicité entre eux !
11. Les partenaires ne doivent pas être trop différents…l'amour a ses limites… 
12. Il faut accepter que l'autre reste un mystère...

mercredi 27 mai 2015

Conscient et inconscient: Les secrets du développement personnel

 Conscient et inconscient : Les secrets du développement personnel

(Par Mathieu du blog Penser et agir)


J’aimerais aborder ces notions d’une façon pragmatique et qui parle à tout le monde.
Par cette approche, je souhaite commencer par vous présenter différentes définitions.
Afin de compléter ces définitions j’aimerais vous présenter la métaphore de
l’inconscient qui me tient le plus à coeur : Dans son livre Psycho-Cybernetics
Maxwell Maltz compare l’inconscient à un système cybernétique. Pour faire simple, 
il utilise la métaphore d’un missile autoguidé qui essaye d’atteindre son but 
en corrigeant sa trajectoire en permanence et en temps réel.
Non non ne partez pas tout de suite, vous verrez que cette image mentale à beaucoup
 d’avantages dans la suite de cet article !
Bien entendu, cette liste est loin d’être exhaustive et chacune des approches du
conscient et de l’inconscient par ces disciplines mériterait d’être complétée.

Ma vision du conscient en 3 axes

1er axe : la conscience de soi-même
Comme le dit la célèbre citation de Descartes : « je pense donc je suis ».
J’aime comparer cette approche du conscient à de l’introspection.
Nos perceptions conscientes étant influencées par nos ressentis, nos
expériences passées, notre éducation, notre contexte d’évolution (pays
, niveau social, société, etc.). J’aime les métaphores d’image intérieure,
d’image mentale et dereprésentation subjective interne de soi-même
pour expliquer cette vision du conscient.

2e axe : la perception « consciente » de la réalité
Percevoir est une activité consciente soumise à l’interprétation de ce
 que nous percevons via nos 5 sens (VAKOG). L’un des présupposés
de la PNL (emprunter à Korzybski) dit ceci : « une carte n’est pas le
 territoire ». Ce présupposé signifie que la vision du monde par un
 individu est soumise à son interprétation sensorielle. Ainsi, elle
sera subjective et soumise aux informations transmises par ses 5 sens.
La réalité est donc toujours perçue suivant certains biais d’interprétation.
Vous êtes plus ou moins frileux, vous aimez plus ou moins telle ou telle couleur, etc.

3e axe : la conscience morale
La conscience morale permet de définir ce qui est bien, ce qui est mal,
 ce qui est vrai et ce qui est faux. Elle aussi est soumise à nos perceptions,
 nos expériences de vie et à l’influence de la société. L’influence de la
société est vue comme des raccourcis de jugement ou des « à priori »
en psychologie sociale.
On parle aussi de preuve sociale, un des concepts principaux de la
psychologie sociale et de la manipulation. Ainsi, si quelque chose passe
 à la télévision par exemple, les personnes accorderont beaucoup plus de
 crédit à cette chose. D’où les étiquettes « vu à la télé » utilisée en marketing,
 les propagandes orchestrées en temps de guerre ou encore les campagnes
publicitaires avec « preuves scientifiques à l’appui », etc. Tous ces exemples
 sont desapplications du concept de preuve sociale influençant directement
 nos perceptions conscientes de ce qui est bien, mal, vrai ou faux.
Pour résumer, je vois le conscient comme une activité cérébrale à 3 niveaux
 (ce que je suis, ce que je perçois, ce que je définis comme bien, mauvais, vrai, faux).
Cette activité étant soumise à nos perceptions sensorielles, nos interprétations subjectives, notre contexte d’évolution, et nos expériences actuelles et passées (ce qui englobe l’éducation que l’on a reçue).

Ma vision de l’inconscient en 3 axes

1er axe : un régulateur et nos fonctions biologiques
L’inconscient régule nos fonctions biologiques (respirations, contractions 
des muscles, douleurs, digestion, etc.). En effet, vous ne pensez pas
consciemment à respirer ou encore à contracter les 20 muscles du visage qui vous permettent de sourire 😉 ! Il englobe nos réactions instinctives et nos automatismes.
Il a ses propres modes de fonctionnement :  il perçoit, ressent, pense et réagit de façon autonome.
Si vous voulez approfondir ce premier axe je vous renvoie à cet excellent article du CNRS :
 Les neurosciences révèlent le pouvoir de l’inconscient.
D’après cette étude, 90 % de nos opérations mentales seraient inconscientes !
Voici un exemple issu de l’article que j’apprécie particulièrement : le freinage
d’urgence lorsqu’on conduit est une action inconsciente. S’il avait fallu prendre
 la décision consciemment, il aurait été trop tard…

2e axe : un système autoguidé
J’adopte volontiers l’image empruntée à la cybernétique par Maxwell Maltz,
 laissez-moi vous la présenter succinctement. Vous pouvez vous procurer
le livre (en anglais) si vous souhaitez approfondir cette vision. Maltz voit
 l’inconscient comme un système autorégulé. Un peu à la manière d’un
 missile autoguidé essayant d’atteindre sa cible. En suivant cette métaphore,
 l’inconscient essaierait d’atteindre, via des affinements successifs, un but qui
 aurait été introduit consciemment ou inconsciemment (je reviendrai sur 
cet aspect que je considère comme primordial dans le paragraphe suivant).

3e axe : un immense réservoir de capacités
L’inconscient peut être vu comme un immense réservoir de capacités, 
de souvenirs et de fantasmes. Certains sont assumés et d’autres ne le sont pas.
 Certains sont connus, comme le prénom de votre meilleur ami.
D’autres sont « inconnus » (ou non conscients plutôt), comme l’origine d’une
phobie par exemple. Une personne qui a la phobie des araignées sera consciente
 de cette peur mais sera incapable d’identifier quelle est l’expérience originelle
qui a entraîné cette phobie. Et quand bien même la personne serait consciente
de l’expérience originelle…serait-elle apte à la modifier ? L’expérience étant
enfouie profondément dans son inconscient.
Ces deux derniers axes conduisent à l’introduction d’une nouvelle notion primordiale
 qui découle de tout ce raisonnement : les croyances. Je détaille ce concept dans le prochain paragraphe.

Conscient, inconscient et développement personnel

Je vous ai montré que le conscient et l’inconscient étaient les pierres angulaires de pas mal de thérapies et je vous ai donné mes visions personnelles de ces deux notions. J’aimerais maintenant rattacher tout cela au développement personnel et à un aspect pratique applicable au quotidien. La notion que je souhaite exploiter pour cela est la notion de croyance.
Robert Diltz a présenté un modèle hiérarchique de niveaux logiques qui a ensuite été repris par la PNL. Il décrit les six niveaux suivants : environnement, comportements, capacités, croyances, identités et spirituel.
Dans cet article je ne m’intéresserai qu’au niveau des croyances. Il est défini comme le niveau relatif aux valeurs. Les valeurs sur soi (ce que je vaux), les valeurs sur les autres (ce que vaut cette personne) et les valeurs sur la vie (ce qui est bien, ce qui est mal, etc.).
Ainsi si on reprend l’image du missile autoguidé représentant l’inconscient et qu’on associe cette notion de croyance on peut en arriver à l’idée suivante :
Les croyances qu’un individu possède conditionnent le but qu’il devra atteindre.
Ainsi, si on considère qu’une personne à la croyance qu’il « est impossible d’arrêter de fumer sans grossir », on peut en déduire qu’elle agira inconsciemment en respectant cette croyance. L’organisme pourrait alors demander de la nourriture (demande inconsciente) lorsque la personne essayera d’arrêter de fumer (demande consciente).
Voici un autre exemple, issu cette fois des thérapies cognitivo comportementales. Pour faire simple ces thérapies consistent à remplacer les idées négatives et les comportements inadaptés par des pensées et des réactions en adéquation avec la réalité.
Un ami kinésithérapeute m’a expliqué la chose suivante : Le lombalgique chronique est une personne qui a mal au dos. Il est persuadé que lorsqu’il a mal au dos, il faut qu’il se repose car c’est l’idée communément admise. Par conséquent, il se repose tout le temps, il se déconditionne et sa douleur augmente. Mon ami explique à ses patients atteints de ces troubles qu’augmenter leur activité ne fera que diminuer leur douleur, leur anxiété, leur stress, etc… Suite à cela, ils recommencent à être actif et leur douleur diminue.
J’aimerais maintenant pousser la réflexion encore un peu plus loin et vous demander si,d’après vous, il serait possible de « programmer » consciemment votre inconscient ? Dit comme ça, ça peut sembler bizarre ! Mais, je vais vous répondre : c’est un peu le sujet de la PNL, mais aussi de l’hypnose, de la sophrologie, des thérapies, etc. Si j’extrapole un peu plus, j’ai l’intuition qu’en menant ce type de réflexions dans beaucoup de domaines on arrivera à la conclusion suivante :
La guérison de troubles psychologiques (attention je n’ai pas dit pathologiques !)passe par la modification des croyances du patient.
Les différentes disciplines introduisent différents concepts intermédiaires et complémentaires, des techniques, des méthodes, etc. Toutes ces notions permettent de structurer et d’outiller tout cela. Par techniques, concepts et méthodes voici quelques exemples : relaxation(méditation), touché (magnétisme, EFT, et bien d’autres pseudosciences), inductions hypnotiques(hypnose), images mentales (PNL, hypnose), dialogue thérapeutique (accompagnement psychologique), etc.
Ce qui m’amène à un dernier concept que j’aimerais introduire : le concept de placebo thérapeutique. Je vous explique tout ça dans le prochain paragraphe.

La notion de placebo thérapeutique

Un placebo thérapeutique pourrait expliquer pas mal de guérisons « spectaculaires ». Par exemple, prenons l’exemple du magnétisme :
Si une personne croit que le magnétisme fonctionne et qu’elle consulte un magnétiseur pour résoudre un problème, elle serait en quelque sorte déjà en train de programmer son inconscient vers la résolution du problème. C’est un peu comme faire boire de l’eau salée à quelqu’un qui se plaint de douleurs à la tête en lui faisant croire que c’est du paracétamol. Si le mal de tête est psychosomatique, dans la plupart des cas, la personne n’aura plus mal à la tête après avoir bu votre breuvage ! C’est la définition d’un placebo « classique ».
La PNL, la sophrologie, l’hypnose, etc. pourraient ainsi être considérées comme des ensembles de placebos thérapeutiques « normalisés »Je  tiens à préciser qu’il n’y a aucune connotation péjorative dans cette notion… bien au contraire ! Leurs efficacités dépendent des croyances que la personne place dans la discipline (cf. ma vision du conscient pour voir les différents axes d’influence permettant de croire que telle ou telle chose fonctionne).
Si on prend l’exemple de l’hypnose, l’hypnothérapeute met le patient en état modifié de conscience (EMC) afin de faire des suggestions à base de métaphores, de ressentis, d’images mentales, etc. L’EMC permettant alors une meilleure intégration de ces images mentales. En PNL on parle de « reprogrammer » le patient en se basant sur ses perceptions sensorielles. Pour faire simple, le thérapeute essayera de modifier la perception d’une expérience passée en faisant appel à de la visualisation (ressenti via les éléments du contexte VAKOG).
Et ainsi de suite…

Quelles conclusions tirer de cette approche ?

Ce que j’aimerais que vous retiriez de cet article (assez dense je l’avoue) est que, si on suit ce raisonnement, nos actions inconscientes sont continuellement influencées par nos croyances conscientes (et inconscientes !).
Si vous parvenez à modifier une croyance qui vous fait défaut alors vous pourrez changer profondément votre personnalité et votre façon d’agir. Peu importe la discipline utilisée (simple introspection, méditation, PNL, hypnose, thérapie, etc.), si vous parvenez à modifier une croyance qui vous ennuie vous avez gagné !
Voici quelques exemples de croyances « communes » qu’il est possible de modifier :
  • Épanouissement personnel : « Je n’arriverai jamais à comprendre cette discipline parce que c’est trop compliqué pour moi » ;
  • Loisir et expérience « Le saut à l’élastique, ce n’est pas pour moi ! J’ai le vertige ! » ;
  • Relations sociales et séduction : « Cette personne est trop belle et trop intelligente pour moi, je ne pourrais jamais l’intéresser » ;
  • Confiance en soi : « Je n’y arriverai pas parce que je suis nul ! » ;
  • Addiction : « Arrêter la cigarette ça fait grossir ! » ;
  • Phobie : « C’est plus fort que moi : dès que je vois une araignée, je hurle ! »Et bien d’autres… !
    Dans cet article, je partage avec vous
     un schéma de réflexion basé sur les croyances et les ressentis. C’est d’ailleurs l’approche qui me semble la plus importante en développement personnel. Je ne dis pas qu’elle sera simple à intégrer ni que la modification d’une croyance est quelque chose d’aisé. Cependant l’idée est là et j’aimerais que cet article agisse comme une prise de conscience pour toutes les personnes qui découvrent le développement personnel.

mardi 26 mai 2015

Pourquoi le développement personnel devrait-il 

être enseigné à l’école ?


Je ne pouvais pas initialiser ce blog sans écrire un article définissant ce
qu’est pour moi le développement personnel et surtout pourquoi tout 
individu a intérêt à s’y mettre. Cet article ne se présente absolument pas
comme la définition absolue de ce domaine mais plutôt comme la 
vision que j’en ai et qui sera exploitée sur Penser et Agir. 
Parce que le développement personnel est présent dans tous les
domaines de la vie, il pourrait selon moi être enseigné à l’école afin que
dès le plus jeune âge nous y soyons sensibilisés.

Les domaines d’application du développement personnel.

Le développement personnel est présent dans votre vie de tous les jours.
Ce n’est pas qu’un ensemble de réflexions abstraites et inapplicables.
C’est un ensemble de solutions concrètes définies pour améliorer votre vie et surtout
en profiter un maximum.

Atteindre ses objectifs

Le développement personnel permet de maximiser les chances d’atteindre
les objectifs que l’on se fixe. Grâce à un engagement envers soi-même et de
bonnes habitudes de vie il sera beaucoup plus simple de relever tous les défis
que nous souhaitons accomplir. Pour que cela soit possible, il faudra veiller
à établir une liste d’objectifs clairs et bien définis. Établir cette liste semble être
quelque chose de très simple mais, pour que cela soit réellement efficace, il ne
faut pas se limiter à l’énonciation simple d’objectifs. Il faudra les définir
clairement puis les décomposer en sous objectifs. Des échéances seront planifiées
afin de vérifier si ces sous objectifs sont atteints. Des outils et des techniques
existent : ils seront détaillés dans les futurs articles de Penser et Agir.

Élargir ses cercles sociaux

La plupart des personnes sortent souvent avec le même groupe d’amis.
Ces amis peuvent être des collègues de travail, des amis d’enfance
ou encore des personnes rencontrées sur les bancs de l’école. À partir
du moment où un groupe d’amis est formé, la plupart des gens ne feront
pas l’effort d’en construire un nouveau. Leur groupe d’amis est comparable
à un environnement où ils se sentent en sécurité et ils ne voient pas
l’intérêt de côtoyer de nouvelles personnes. Cette mauvaise habitude a plusieurs inconvénients :
  • Monotonie des activités : la plupart des groupes sociaux effectue le même genre d’activité. Si vous êtes dans un groupe de cinéphiles alors vous irez souvent au cinéma. Si vous êtes dans un groupe de sportifs, vous partirez faire du footing, des séances de musculation, du fitness, etc. Par contre, il est fort probable qu’aucun de ces groupes n’aillent à la fois au théâtre, au cirque, dans les parcs d’attraction, à des concours de danse, faire du saut à l’élastique, etc. Le fait de côtoyer principalement les mêmes personnes vous contraindra à ne pratiquer qu’un sous-ensemble des activités que vous auriez pu faire. Rencontrer un maximum de personnes est une des clés du développement personnel.
  • Similarité des points de vue : bien que toutes les personnes d’un même groupe social n’ont pas exactement les mêmes points de vue, ils demeurent relativement similaires. Cela est dû au fait que, la plupart du temps, les membres d’un groupe social évoluent dans le même milieu socioprofessionnel. La pluralité des personnalités que nous fréquentons dans nos cercles sociaux étant pour moi l’un des facteurs d’épanouissement personnel les plus importants, il est primordial de savoir diversifier au maximum ses activités, ses discussions et donc les personnes que nous fréquentons. Le développement personnel permet, via l’intériorisation de concepts essentiels, de rencontrer naturellement un maximum de personnes et surtout de rester en contact avec elles. Je vous présenterai les exercices simples qui ont fonctionnées pour moi.

Combattre la procrastination

Combien de fois vous êtes-vous dits « je ferai cela demain » ou encore
« il faut absolument que je fasse ceci » sans pour autant effectuer ces actions.
Le développement personnel vous aidera à améliorer votre productivité et
votre efficacité dans tous les domaines. Comme nous l’avons vu, l’atteinte
 de vos objectifs passe par la planification de tâches à accomplir les unes
après les autres. Cependant si vous remettez toujours tout au lendemain 
vous n’accomplirez jamais ces tâches et n’atteindrez jamais vos objectifs.
Il y a beaucoup d’astuces et de techniques pour lutter contre la procrastination :
 je vous expliquerai celles qui ont fonctionnées pour moi et qui fonctionnent toujours aujourd’hui.

Devenir un séducteur

L’un des domaines principaux restant du développement personnel est la séduction.
Je parle de la séduction dans tous les sens du terme : pas uniquement entre un
 homme et une femme.
Je m’explique : lorsque vous souhaitez obtenir une augmentation de la part
 de votre supérieur hiérarchique, il faudra faire preuve d’habileté dans votre
 discours afin de maximiser vos chances d’en obtenir une. Pour moi, ce type
 d’interaction relève du domaine de la séduction. Cet exemple peut être décliné
 de plusieurs façons : demander un service à un ami, demander un renseignement
 à un inconnu, … On pourrait résumer cela par le fait de vouloir obtenir quelque
chose de quelqu’un. Ainsi la séduction englobe deux sous domaines extrêmement intéressants :
  • la manipulation : c’est un domaine qui a souvent mauvaise pub, cependant il est extrêmement utile de connaître les différentes techniques qui existent afin d’une part, de se défendre face à ceux qui les utilisent et d’autre part, de les utiliser (sans pour autant vouloir le mal de quelqu’un !). Je me suis passionné pour ce domaine issu de la psychologie sociale et je vous apprendrai les techniques qui fonctionnent réellement et dont on peut mesurer l’impact. C’est un domaine complexe et très développé, il serait dommage de s’en priver.
  • la communication non-verbale : ce domaine concerne toutes les émotions que nous transmettons sans utiliser notre voix. Étudier ce domaine vous aidera par exemple à détecter les mensonges ou encore à faire en sorte d’être perçu par vos interlocuteurs comme vous souhaitez l’être. Encore un domaine de la psychologie sociale exploitable dans le développement personnel ;)
Bien entendu, la séduction est aussi entre un homme et une femme. La plupart des gens vont limiter leurs fréquentations à leur groupe social proche car il est beaucoup plus facile de fréquenter et de séduire quelqu’un que nous avons l’habitude de côtoyer plutôt qu’une parfaite inconnue. Cependant que faîtes-vous de toutes les femmes que vous voyez dans la rue, au supermarché, dans les bars et les bibliothèques ? Que faîtes-vous de toutes ces femmes que vous n’irez jamais voir et avec qui une relation aurait pu être établie ? Un certain nombre d’articles traiteront de ce domaine essentiel du développement personnel.
Une remarque importante avant de continuer : à l’inverse de la plupart des sites spécialisés dans le domaine de la séduction, je ne vous présenterai pas de méthode magique ou encore de phrases toutes faites prêtes à être récitées devant une parfaite inconnue. Le domaine de la séduction est pour moi beaucoup plus fin et c’est grâce à un ensemble de concepts et d’habitudes de vie issues du développement personnel que l’on parvient à séduire les femmes que l’on souhaite réellement quelque soit l’endroit, l’heure et le contexte. Abordez sans avoir à réfléchir à ce que vous devez faire ou dire… Vous n’êtes pas un robot !

Pourquoi le développement personnel n’est pas inné ?

La plupart des personnes à qui vous parlerez de développement personnel vous expliqueront que c’est quelque chose de naturel et qui ne peut être enseignéJe ne suis absolument pas d’accord avec cela ! Nous vivons dans une société aux règles et aux conventions complexes. Si l’on veut sortir du lot et diriger notre vie comme on l’entend : ce n’est pas si simple.
Avez-vous déjà entendu un de vos collègues ou de vos amis vous expliquer qu’il n’y a pas besoin de livres ou de méthodes pour réussir tout ce que nous entreprenons ? Avez-vous déjà entendu quelqu’un vous expliquer que séduire une femme était quelque chose de naturel et qu’il suffisait de rester soi-même pour y arriver ? Enfin, avez-vous déjà entendu ces mêmes personnes vous expliquer combien le monde qui les entoure est injuste et comme les richesses et les dons sont mal répartis ?
Je pense que ces personnes ont choisi la voie de la simplicité en reniant le fait que, pour réussir et devenir le leader de sa vie, il faut apprendre et comprendre comme il faut le faire dans n’importe quel autre domaine. Croire que cela est inné et naturel consiste à s’imposer à soi-même des limites et ne pas utiliser tous les outils que nous avons à notre disposition. Depuis longtemps, des philosophes, des psychologues, des médecins, des coaches (et bien d’autres…) réfléchissent et analysent le monde qui nous entoure afin de trouver des réponses aux questions que nous nous posons tous. Sachant cela, il serait vraiment dommage de ne pas profiter de leur travail !

Vous doutez encore ?

Posez-vous la question suivante : « pourquoi est-ce que certaines personnes réussissent la où d’autres échouent ? ». Si vous prenez deux personnes qui ont effectué les mêmes études et obtenues les mêmes diplômes, pourquoi est-ce que leurs parcours seront différents ? Et surtout :comment est-ce que la personne qui aura effectué le meilleur parcours y sera parvenue ?

Nos vies sont influencées par trois aspects fondamentaux :

La façon dont nous abordons la vie quotidiennement : comme le dit si bien l’expression « il faut se lever du bon pied », c’est-à-dire qu’il faut faire en sorte d’aborder chaque jour comme si c’était un cadeau inestimable qui nous était offert. Chaque jour que nous passons sur cette terre nous offre un ensemble de possibilités inouïes. Nous avons la possibilité de nous essayer à des activités que nous n’avons jamais pratiquées, nous pouvons tout simplement continuer à apprendre tout ce que nous ne savons pas encore.
Les personnes que nous rencontrons : chaque matin lorsque nous nous levons, nous ne savons pas encore de quoi la journée va être faite. Et chaque jour est l’occasion de rencontrer de nouvelles personnes. N’importe où, n’importe quand, que ce soit dans les transports en commun, sur notre lieu de travail, à la boulangerie ou encore au supermarché. Nous avons en permanence la possibilité de rencontrer les personnes qui nous entourent et par la suite d’apprendre à leurs côtés.
Les expériences que nous effectuons : chacune des expériences que nous effectuons, aussi diverses soient-elles, nous permettent de progresser et d’élargir nos points de vue. Si les deux premiers points de cette liste sont devenus des habitudes que vous mettez en application chaque jour alors, naturellement, vous prendrez part à de nouvelles expériences. Vous découvrirez des films que vous ne soupçonniez pas, vous écouterez des musiques que vous n’auriez pu découvrir autrement, vous lirez des livres que vous n’imaginiez même pas, vous expérimenterez des activités que vous n’auriez jamais eu l’idée de pratiquer tout seul, vous voyagerez dans des pays qui au premier abord ne vous auraient pas forcément tentés.

Devenir unique

Parce que si vous tournez votre vie autour de ces trois aspects fondamentaux du développement personnel, vous aurez forcément des avantages considérables sur les autres. Tous les matins vous vous lèverez en ayant envie de passer une bonne journée, dès que cela sera possible vous rencontrerez de nouvelles personnes et apprendrez à leurs côtés, vous vivrez à chaque fois des expériences que vous n’auriez jamais pu vivre si vous aviez été tout seul. Vous avez alors beaucoup plus de probabilités de réussir que n’importe qui d’autre.

Sur le Blog : Penser et agir de Mathieu