MIGRAINE ET SOPHROLOGIE
La séance de sophrologie pour apaiser et apprendre à gérer sa migraine s'inscrit dans une démarche globale : hygiène de vie, nutrition équilibrée, hygiène du sommeil, reprise d'une activité physique régulière ou même d'un sport, et bien sûr le suivi que vous propose votre médecin traitant et/ou votre neurologue.
Les bénéfices à attendre d'une séance de sophrologie migraine: diminuer la fréquence des migraines, adoucir l'intensité de la douleur, gérer de façon autonome dès le tout début des premiers symptômes.
Le but de la séance de Sophrologie:
La séance de sophrologie pour apaiser et apprendre à gérer sa migraine s'inscrit dans une démarche globale : hygiène de vie, nutrition équilibrée, hygiène du sommeil, reprise d'une activité physique régulière ou même d'un sport, et bien sûr le suivi que vous propose votre médecin traitant et/ou votre neurologue.
Les bénéfices à attendre d'une séance de sophrologie migraine: diminuer la fréquence des migraines, adoucir l'intensité de la douleur, gérer de façon autonome dès le tout début des premiers symptômes.
METTRE DES MOTS SUR DES MAUX
Définition de la migraine
• Survenue répétée
• Céphalées invalidantes (qq heures,qq jours)
• Parfois précédé de signes neurologiques appelés « aura » (10 à 30 minutes)
• Chez un sujet par ailleurs normal
Maladie neurologique bénigne +/‐ handicapante
Epidémiologie de la migraine
• 12% de la population
– Migraine sans aura 6‐10%
– Migraine avec aura 3‐6%
– 5 à 10% des enfants
• Trois fois plus fréquente chez la femme que
l’homme
• Terrain familial
• Débute avant 40 ans dans 90% des cas
Céphalée migraineuse
1. Au moins 5 crises/an
2. Crises de céphalée durant 4 à 72 heures
3. Céphalée ayant au moins 2 des caractères suivants:
– Unilatéralité
– Pulsatilité
– Intensité modérée à sévère
– Aggravation par l’effort physique (monter les escaliers)
4. Céphalée associée à au moins un des symptômes
suivants:
– Nausées et/ou vomissements
– Photophobie et phonophobie
5. Non attribuée à une autre affection
Autres signes d’accompagnement
• Prodromes quelques h à 24h avant
troubles humeur, asthénie, faim, constipation
• Pendant la crise
pâleur/rougeur visage, saillie vx temporaux superficiels
obstruc.on nasale, rhinorrhée, larmoiement
troubles humeur et de concentration, asthénie, sensation
d’instabilité, vision floue
• Après la crise
épuisement ou bien être
Facteurs déclenchant des crises
• Facteurs psychologiques (anxiété, stress..)
• Facteurs hormonaux (règles, contraception orale)
• Changements de rythme
– WE, vacances, déménagement, voyages, surcharge de travail…
– Grasse matinée, sommeil insuffisant, réduction consommation café
• Facteurs alimentaires
– Rythme des repas: jeûne, sauter ou retarder un repas, hypoglycémie…
– Certains aliments: vin, chocolat,graisses cuites, fromages…
• Facteurs sensoriels
– Luminosité, bruit, odeurs
• Facteurs climatiques
– Chaleur, vent, orage, froid
• Autres
– Effort physique, altitude, traumatisme crânien, artériographie…
Conséquences de la migraine
• Conséquences crises fréquentes
- Diminution de la qualité de vie
– Céphalée quotidienne par abus médicamenteux
• facteur de risque d’AVC
chez la femme jeune
• Psychologique
– risque de dépression x2 à x4
– risque de troubles anxieux x2 à x5
– augmentation des crises en cas de troubles psychiatriques…
Traitement des crises de migraine
• Non médicamenteux
– repos, calme
– froid/chaud sur la tête
– café, thé (sensation agréable de bien-être)
Traitement de fond
• But = Réduction de la fréquence des crises
• Non médicamenteux
– Psychothérapie, relaxation, éviction des Facteurs Déclenchant
_Exercices de Sophrologie (Respiration abdominale et concentation sur le son de la respiration.
Sophro de base vivantielle, Sophro substitution sensorielle, Sophro perception relaxative des 5 sens)
Conclusion
• Fréquente mais mal connue (et méconnue)
• Invalidante mais non prise au sérieux
– Peu enseignée au corps médical
– 40% patients ne consultent pas
• Sous‐diagnostiquée et mal soignée
• Conséquences personnelles et socio-économiques
importantes
• Fréquente mais mal connue (et méconnue)
• Invalidante mais non prise au sérieux
– Peu enseignée au corps médical
– 40% patients ne consultent pas
• Sous‐diagnostiquée et mal soignée
• Conséquences personnelles et socio-économiques
importantes
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